Votre sécurité financière, NUMÉRO 2 2015

Cinq mesures financières  pour les nouveaux parents 

Le fait de devenir parent entraîne de nouvelles joies, de nouveaux défis et, aussi, de nouveaux objectifs financiers. Même si les finances personnelles ne sont peut-être pas votre priorité pour le moment, voici cinq éléments importants à prendre en considération lorsque vous revenez à la maison pour la première fois avec votre petit bout de chou.

  1. Le numéro d’assurance sociale (NAS) Pour que vous puissiez inscrire vos enfants à titre de personnes à charge ou établir des comptes d’épargne à leurs noms, ils doivent avoir un numéro d’assurance sociale. La plupart des provinces offrent un service d’enregistrement des nouveau-nés vous permettant de présenter une demande de NAS. En Colombie-Britannique et en Ontario, vous pouvez demander du même coup le certificat de naissance.  
     
  2. La priorité au bébé – sans oublier vos  autres objectifs financiers Avoir des enfants peut coûter cher : la nourriture, les services de garde et les droits de scolarité ne sont que quelques-unes des dépenses à ajouter à votre budget. Les nouveaux parents donnent souvent la priorité à ces nouvelles dépenses plutôt qu’à leurs propres objectifs financiers, comme l’épargne visant une maison, un véhicule ou des vacances. N’oubliez pas le principe qui dit que vous devriez vous payer en premier et tirer parti de la valeur de la capitalisation des intérêts (amasser des intérêts à partir des intérêts déjà accumulés) afin de faire croître votre épargne.
     
  3. Commencez à épargner en vue des  études postsecondaires Considérant qu’au Canada, l’étudiant moyen de premier cycle qui est aux études à temps plein paie des droits de scolarité annuels de près de 6 000 $1, les études postsecondaires peuvent constituer une énorme dépense. Un régime enregistré d’épargne-études (REEE) peut vous aider à atteindre cet objectif. Non seulement votre argent fructifie à l’abri de l’impôt dans le régime, mais le gouvernement contribue à l’épargne au moyen de subventions considérables. 
  4. Planifiez l’imprévisible pour protéger  la sécurité financière de votre famille  Ce n’est pas un sujet facile à aborder. Mais il vous faut veiller à ce que les besoins financiers de votre famille soient pris en charge si votre conjoint ou vous-même décédiez de façon inattendue. Afin d’avoir une idée approximative du montant d’assurance-vie dont vous auriez besoin, calculez le montant manquant pour rembourser votre prêt hypothécaire, financer les études postsecondaires de votre enfant et remplacer la perte de revenu.  Vous pouvez aussi prendre en considération ces éléments de base de la planification successorale qui touchent les nouveaux parents :
    -Dresser un inventaire des actifs et passifs à conserver en lieu sûr, dont l’accès est limité à une personne  de confiance
    ​-Examiner vos polices d’assurance et, au besoin, mettre à jour la désignation des bénéficiaires
    ​-Rédiger un testament dans lequel vous précisez le nom du tuteur de l’enfant 
     
  5. Faites un budget pour l’arrivée de bébé  Les ressources financières requises pour subvenir aux besoins d’un nouveau-né ne sont pas très considérables. Toutefois, à mesure que l’enfant grandit, des dépenses imprévues – comme l’augmentation des primes d’assurancemaladie – peuvent prendre les parents par surprise. Voilà pourquoi il importe de faire un budget dès maintenant. Le fait de créer une catégorie relative à votre enfant et d’y consigner toutes les dépenses liées aux soins des enfants vous permet de savoir facilement combien vous dépensez à cet égard. 

La planification de votre budget est un excellent moyen de gérer les défis qui touchent les nouveaux parents. Et qui sait, au fil des années, votre enfant pourrait même apprendre quelques astuces grâce à vous!

1 Statistique Canada, Frais de scolarité universitaires, 2014-2015, http://www.statcan.gc.ca/daily-quotidien/140911/dq140911b-fra.htm

10 questions à considérer au sujet de votre retraite

Vous avez épargné, fait des placements judicieux et constitué un bon coussin. La retraite est à votre portée et vous ne souhaitez prendre aucun risque. Voici donc dix questions portant à réflexion qui pourront vous aider à prendre votre retraite en toute sécurité et en toute confiance. La retraite comporte son lot de sentiments partagés, mais votre conseiller en sécurité financière peut vous aider  à préciser votre vision de l’avenir de façon à ce que vous puissiez planifier votre retraite en toute confiance.

  1. Quand voulez-vous prendre  votre retraite?  Le moment où vous prendrez votre retraite est un élément déterminant pour constituer votre coussin de retraite et pour établir pendant combien de temps vos économies devront durer. À la retraite, vous vivrez un changement fondamental – soit le passage de la phase de l’épargne à celle des dépenses.
     
  2. De quelle part de votre revenu actuel croyez-vous avoir besoin à la retraite?  Vos objectifs et vos défis sont propres à votre situation personnelle. La part de votre revenu actuel dont vous aurez besoin à la retraite dépend du montant que vous avez épargné et de celui que vous prévoyez dépenser à la retraite. 
     
  3. Comment prévoyez-vous dépenser  votre argent?   Vos dépenses à la retraite seront basées sur des choix que vous faites, mais pourraient bien dépendre de facteurs indépendants de votre volonté. 
     
  4. Avez-vous pris en consideration les besoins liés à votre style de vie à la retraite?   Comment envisagez-vous votre style de vie à la retraite? À quoi consacrerez-vous votre temps? Vos choix pourraient avoir une incidence sur vos habitudes de dépenses à la retraite.
     
  5. Sur quelles sources de revenu garanti pouvez-vous compter à la retraite?   La prise en compte de vos sources de revenu garanti existantes peut aider à determiner quelles sont les sommes additionnelles dont vous aurez besoin pour couvrir vos frais de subsistance et préserver le style de vie pour lequel vous avez travaillé toute votre vie.
     
  6. Planifiez-vous travailler à temps partiel ou à temps plein à la retraite?  Peut-être désirez-vous continuer à mettre en pratique vos compétences ou explorer de nouvelles occasions sur le plan professionnel. Vous pourriez également avoir des dettes ou la volonté de soutenir financièrement des membres de votre famille. 
     
  7. Quelle place occupent la santé et le bienêtre dans la planification de votre retraite?  La question du bien-être est primordiale, car votre vitalité et votre joie de vivre en dépendent. Vous pourriez notamment profiter de la retraite pour entretenir votre forme physique et mentale. Il importe de consacrer une partie de votre budget  à des priorités liées à la santé et au bien-être. 
     
  8. Êtes-vous prêt à affronter les événements imprévus de la vie?  Dans le contexte de la planification de la retraite, prenez en compte les événements imprévus – d’ordre financier ou personnel – à l’égard desquels vous aimeriez être préparé. Vérifiez si votre épargne-retraite suffira advenant un ralentissement économique, une hausse du coût de la vie ou une grande longévité.
     
  9. Que ferez-vous pour que votre argent continue de travailler pour vous  à la retraite?   En plus de protéger pleinement les sommes nécessaires pour couvrir leurs frais de subsistance,  de nombreux retraités affectent également une partie de leur coussin financier à la croissance du capital. 
     
  10. Prévoyez-vous laisser un legs?  Vous souhaiterez peut-être laisser un héritage  à votre famille ou faire un don à l’organisme  de bienfaisance de votre choix. 

La retraite comporte son lot de sentiments partagés, mais votre conseiller en sécurité financière peut vous aider  à préciser votre vision de l’avenir de façon à ce que vous puissiez planifier votre retraite en toute confiance.

Ne laissez pas votre prêt hypothécaire mettre en péril la sécurité financière de votre famille 

Vous mettez la dernière main à votre prêt hypothécaire – un énorme engagement qui s’accompagne de grandes responsabilités.  Il est tout à fait naturel d’être préoccupé par le fait que votre famille pourrait perdre la maison si le soutien économique principal n’était désormais plus là pour effectuer les paiements. 

Vous avez quelques options à votre disposition, toutes deux comprenant des paiements mensuels abordables. Les établissements de crédit vous offrent une assurance hypothécaire – aussi appelée assurance créances – lors de la signature de votre prêt hypothécaire. L’autre avenue est une assurance-vie individuelle que vous pouvez souscrire par l’entremise de votre conseiller en sécurité financière.

L’assurance hypothécaire est pratique. Vous pouvez faire une demande de protection d’assurance en même temps que vous contractez votre prêt hypothécaire. L’assurance est utilisée pour couvrir le solde impayé du prêt hypothécaire si vous décédez. Vous pouvez également inclure votre conjoint dans la protection.

Il est cependant important de bien étudier les différences entre l’assurance hypothécaire et l’assurance-vie individuelle afin de vous assurer de vous doter, vous et votre famille, du type de protection d’assurance qui répond à vos besoins.

Vous devez vous qualifier pour une assurance-vie individuelle, un processus qui peut comprendre la vérification que vous et votre conjoint êtes en bonne santé. Une fois que vous avez commencé à payer les primes, vous êtes protégé pour toute la durée de la police, avec des renouvellements automatiques. Et tant et aussi longtemps que les primes requises sont payées, vous êtes le seul à pouvoir annuler la police. 

Le versement de la prestation

Dans le cadre d’une assurance hypothécaire, votre créancier est le bénéficiaire désigné et le produit de l’assurance est versé au créancier et non pas à votre famille. Si vous ou votre conjoint décédiez, le montant impayé serait remboursé. Le montant de la protection diminue au même rythme que le remboursement du prêt hypothécaire.

L’assurance-vie individuelle vous permet de choisir vos bénéficiaires. Et le paiement de l’indemnité en un montant forfaitaire est payé en franchise d’impôt au décès de la personne assurée même si le prêt hypothécaire est remboursé. Ce type de protection procure une sécurité financière additionnelle au-delà du simple prêt hypothécaire. 

Primes mensuelles  

Avec l’assurance hypothécaire, la protection diminue chaque mois jusqu’au remboursement complet du capital, mais les primes demeurent les mêmes. Avec l’assurance-vie 
Ne laissez pas votre prêt hypothécaire mettre en péril la sécurité financière de votre famille 
individuelle, votre protection ne diminue pas au même rythme que le remboursement de votre prêt hypothécaire, et vous pouvez choisir un régime dont les primes demeureront uniformes pour une période de 10 ans, 20 ans ou votre vie durant. 

Souplesse

Les entreprises de crédit offrent généralement une assurance-vie temporaire non transformable où l’entreprise de crédit possède la police d’assurance. Si vous changez de prêteur hypothécaire, votre police n’est plus valide. Comme vous serez plus âgé qu’au moment de la signature du prêt hypothécaire original ou que votre état de santé pourrait avoir changé, les primes avec le nouveau prêteur pourraient être plus élevées ou vous pourriez ne pas être admissible à une nouvelle protection. 

Si vous avez déjà une police d’assurance-vie individuelle en vigueur et que vous achetez une maison plus grande, vous pourriez envisager d’augmenter la protection. Une option pourrait consister à garder la police existante en vigueur et à en souscrire une deuxième afin d’augmenter la protection globale de votre famille.

Prenez le temps de comparer et de soupeser chaque option. Un conseiller en sécurité financière peut vous offrir des conseils avisés.

De saines habitudes d’épargne mènent à la liberté financière

Peu importe l’objectif – une mise de fonds sur une maison, des vacances de rêve, les études des enfants ou la retraite –, adopter de saines habitudes d’épargne comporte indéniablement des avantages. Même des cotisations relativement peu élevées versées régulièrement peuvent fructifier rapidement grâce à la capitalisation, ou l’intérêt sur l’intérêt.

La plupart des gens peuvent rationaliser l’achat d’un nouveau mobilier de chambre à coucher ou d’une nouvelle automobile plus fiable moyennant de faibles versements mensuels sur plusieurs années. Une telle stratégie peut également s’appliquer à la constitution d’une épargne de taille.

Pour certains, l’épargne est instinctive. Les tamias savent qu’ils doivent entreposer suffisamment de noix et de graines en prévision de l’hiver. Ils aménagent même des espaces d’entreposage dans leur terrier.

Il est important pour tous, y compris les humains, de comprendre l’importance de l’épargne.


Les renseigneents ournis sont onds sur la lgislation fiscale actuelle et ses interprtations uant aux rsidents canadiens et,  notre connaissance, sont exacts au oent de leur pulication. oute odification ultrieure apporte  la lgislation fiscale et  ses interprtations peut avoir une incidence sur ces renseigneents, lesuels sont de nature gnrale et ne visent pas  ournir des conseils dordre uridiue ou fiscal. our des uestions particulires, vous devrie consulter un expert uridiue, coptale ou fiscal.

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Votre sécurité financière, NUMÉRO 2 2014

Comprendre le risque et la façon de le gérer

Le risque fait partie de la vie. Si nous ne prenions pas de risques de temps à autre, nous pourrions rater des occasions qui pourraient contribuer à nous faire profiter de la vie au maximum. La clé consiste à prendre des risques raisonnables qui conviennent à votre tempérament, que vous soyez une personne prudente ou audacieuse.

On peut en dire autant en ce qui concerne l’investissement et les marchés des capitaux. Adopter une approche d’investissement à long terme et définir votre seuil de tolérance au risque vous permettront de concevoir une stratégie porteuse d’un potentiel de réussite raisonnable.

Il importe également de comprendre que le risque est une notion relative lors de la création de votre stratégie de placement. Vous ne pouvez pas l’éliminer, mais vous pouvez le réduire – et même apprendre à l’utiliser à votre avantage.

Les effets du risque sont habituellement visibles à court terme sur votre relevé, et traduisent les hauts et les bas normaux des marchés des capitaux. En gardant le cap et en vous concentrant sur vos objectifs à long terme, vous améliorerez vos perspectives de placement au fil du temps.

Il arrive trop souvent que l’on imagine un moment idéal pour investir et que l’on espère voir les choses se concrétiser; or, attendre le meilleur moment pour investir signifie opter pour l’inaction.

Choisissez la composition de placements qui vous convient

Il est important que votre portefeuille soit constitué de la bonne combinaison de placements. La composition choisie doit refléter votre seuil de tolérance au risque, vos objectifs de placement et votre horizon temporel. Votre conseiller en sécurité financière peut vous aider à définir votre style de placement personnel.

Un large éventail de placements offre souvent plus de stabilité

Si vous investissez dans un éventail de fonds qui représentent différentes industries ou régions géographiques, votre actif sera mieux protégé que si vous n’aviez choisi qu’un ou deux fonds. Cette approche, que l’on appelle la diversification, peut contribuer à réduire les répercussions des hauts et des bas du marché.

Étalez vos achats de placements

Combiner la diversification à la stratégie connue sous le nom d’achats périodiques par sommes fixes permet d’aplanir encore davantage les effets des oscillations associées aux cycles du marché. Cette stratégie consiste à investir de petites sommes à intervalles réguliers, plutôt qu’une somme importante d’un seul coup. Vous évitez ainsi d’investir massivement à un moment où les cours sont à leur plus haut en achetant davantage de titres ou de parts lorsque les valeurs sont faibles, et un moins grand nombre lorsqu’elles sont élevées.

En matière d’investissement, il est payant de se munir d’une stratégie solide. Commencer aussitôt que possible, comprendre votre style de placement personnel, opter pour une composition de fonds diversifiée et étaler vos achats de placements dans le temps sont autant de moyens à votre disposition pour vous aider à atteindre vos objectifs.

Parlez d’argent avec vos enfants

Vous vous demandez comment aborder les questions d’argent avec vos enfants? Maintenant est le moment parfait pour présenter ou revoir certaines leçons simples en matière de dépenses et d’épargne. Voici quelques idées amusantes et des conseils pour mettre vos enfants sur la voie de la réussite financière :

  • Donnez l’exemple – Avant même d’être assez grands pour vous poser des questions, les enfants observent déjà votre attitude envers l’argent. Tâchez donc de surveiller vos faits et gestes en leur présence.
  • Commencez tôt – Les enfants peuvent être initiés aux sous et aux tirelires vers l’âge de cinq ans. Ils trouveront amusant de mettre des pièces de monnaie dans leur petit cochon, de voir la valeur de chaque pièce et de constater comment les sommes peuvent s’accumuler. Les jeux d’argent – qu’il s’agisse de jeux en ligne, maison ou de société – représentent d’excellents outils éducatifs qui rendent l’apprentissage amusant.
  • Servez-vous d’événements de la vie courante – Le magasinage, les courses et la planification des vacances sont de bonnes occasions de lancer une discussion au sujet de l’argent. Expliquez pourquoi vous faites les choses de telle façon et encouragez vos enfants à poser des questions.
  • Allez au-delà des dépenses – Souvent, nous nous limitons à montrer aux enfants comment nous dépensons. Laissez-les vous accompagner lorsque vous épargnez, faites un don et investissez pour leur permettre de comprendre l’éventail complet des notions de gestion budgétaire.
  • Expliquez la différence entre les besoins et les désirs – Montrez-leur comment faire la distinction entre les achats dont ils ont besoin et ce qu’ils veulent avoir. Faire les courses à l’aide d’une liste ou utiliser des tas de pièces de monnaie pour représenter les dépenses du ménage sont autant de moyens de rendre la discussion plus tangible.
  • Versez une allocation – Bien qu’il n’y ait aucun consensus quant à l’argument selon lequel les enfants devraient accomplir des tâches en échange d’argent ou recevoir une allocation pour s’offrir de petits plaisirs, maintenez votre décision et n’accordez pas d’avance de fonds.
  • Encouragez l’épargne – Envisagez de payer des intérêts sur la partie de l’allocation que vos enfants mettent de côté. Verser un pourcentage de la somme épargnée est une autre belle récompense qui permet de faire la démonstration des profits que peut générer l’épargne. Le fait d’avoir leur propre compte bancaire amène les enfants à se sentir grands et les encourage à prendre de bonnes habitudes dès leur jeune âge.
  • Créez un plan – Aidez les enfants plus âgés à faire un remue-méninges afin de trouver des façons d’utiliser leur temps et leur talent pour démarrer leur propre petite entreprise, comme offrir des services de promenade de chiens, de pelletage de neige ou de ratissage de feuilles. Lorsque les enfants gagnent leur propre argent, ils le perçoivent différemment et prennent conscience de l’usage qu’ils font de ces dollars durement gagnés.

La preuve que les Canadiens apprécient leur programme de sécurité financière et leur conseiller en sécurité financière

On dit souvent qu’un objectif sans un bon plan pour l’atteindre n’est qu’un rêve. C’est d’autant plus vrai quand il est question d’objectifs financiers, là où la capacité de concrétiser vos rêves commence par un programme de sécurité financière établi pour vous par un conseiller en sécurité financière.

Un programme de sécurité financière aide en fait à établir une feuille de route qui mène à un avenir financier plus sécuritaire. La prise de contrôle de votre destinée financière a également démontré pouvoir améliorer de façon significative votre bien-être émotionnel.

Selon une étude menée à l’échelle du pays par le Financial Planning Standards Council, les Canadiens qui se livrent à la planification financière :

  • Se soucient moins de l’argent que les Canadiens qui n’ont pas de programme financier
  • Considèrent être mieux préparés à faire face aux urgences financières imprévues
  • Sont plus en mesure de se payer des vacances annuelles et quelques petites folies occasionnelles
  • Ont plus confiance que leurs êtres chers profiteront d’une bonne sécurité financière advenant leur décès3

En fait, 81 pour cent considèrent être sur la bonne voie financièrement comparativement à 44 pour cent qui disent ne faire aucune planification.

Ce sentiment d’être en contrôle de sa destinée n’est qu’un des nombreux avantages de travailler avec un conseiller en sécurité financière :

  • La valeur nette des investisseurs qui jouissent de conseils est près de trois fois supérieure à celle des investisseurs qui ne sont pas conseillés.1
  • Les ménages canadiens qui travaillent avec un conseiller en sécurité financière accumulent des avoirs d’une valeur une fois et demie supérieure aux avoirs des ménages identiques non conseillés sur une période de seulement quatre à six ans.2
  • Les ménages canadiens qui travaillent avec un conseiller en sécurité financière à la mise en oeuvre d’un programme financier complet ont deux fois plus de chance de se dire sur la bonne voie de prendre leur retraite quand ils le désirent que les ménages qui n‘ont pas de programme (55 pour cent par rapport à 22 pour cent3).

Pourquoi agir seul? Établir une relation avec un conseiller en sécurité financière qui peut vous aider à mettre en oeuvre un programme de sécurité financière personnalisé signifie que vous serez plus en mesure de naviguer à travers les hauts et les bas de la vie, et d’atteindre malgré tout vos objectifs.

1 L’institut des fonds d’investissement du Canada, La valeur des conseils : rapport, Novembre 2011
2 CIRANO – Centre interuniversitaire de recherche en analyse des organisations, Une étude économétrique sur la valeur des conseils au Canada
3Financial Planning Standards Council, La valeur de la planification financière

Les renseignements fournis sont fondés sur la législation fiscale actuelle et ses interprétations quant aux résidents canadiens et, à notre connaissance, étaient exacts au moment de leur publication. Toute modification ultérieure apportée à la législation fiscale et à ses interprétations peut avoir une incidence sur ces renseignements, lesquels sont de nature générale et ne visent pas à fournir des conseils d’ordre juridique ou fiscal. Pour des questions particulières, vous devriez consulter un expert juridique, comptable ou fiscal.